(Tu ne lui ressembles pas.
S'il y'avait de toi en elle,
Je crois que je n'en voudrais pas.)

C'était écrit pour elle, mais c'est aussi pour moi :

Moi 17 avril, 01:45
Je sais que tu ne pleures pas. C'est pour ça que je n'ai pas dit "chasse tes larmes, essuie les".
Quand on a épuisé les larmes, le coeur est parfois plus lourd encore.
Il faut s'en échapper. S'échapper du corps et du corps de l'autre aussi.
L'instinct viendra.

Moi 17 avril, 01:47
J'ai l'impression de m'écrire à moi même, à travers toi.
Nous sommes pareilles.

Moi 17 avril, 01:47
Ou pareils. Pareil.
Je ne sais plus.

Elle 17 avril, 01:49 Signaler
Je crois que je vais aller dormir.
Il n'y a que ça.
Dormir et ne pas attendre demain.
Des garçons pareilles, des femmes pareils. Je crois que c'est pour ça que je me tourne vers toi.

Moi 17 avril, 02:06
Je me tourne aussi vers toi.
Je ne sais si à deux, remonter le flot de la vie...
Serait-ce si simple ? s'aider puis réussir ?
Il nous faut le sursaut de la vie : je l'ai. Je vais te le refiler, vite fait bien fait. Je veux.

Elle 17 avril, 02:10 Signaler
J'ouvre grand les mains. Les paumes. Et les yeux.
Si tu me donnes, je te donnerai aussi.
Une promesse de nager ensemble et de ne pas laisser le courant nous noyer.
Respirer pour l'autre quand l'une est sous l'eau.
On peut. On peut essayer.

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