Je n'suis pas triste.
 
Je découvre une merveilleuse personne.
 
 Une autre m'intimide tellement que je stagne dans ma connerie. C'est assez génant.

Trêve de futilités perdues, un paumé m'a balançé du monoï en pleine poitrine pendant que son copain faisait semblant de m'éternuer dessus. L'humour des beaufs en quelque sorte.
J'me demande si ça n'arrive qu'à moi, ce genre de merde.
 
 
Et si un jour tu te rends compte de tout mon charabia, de toutes mes mimiques débiles, de mes sourires coincés, de peur d'en faire trop. Si un jour tu comprends, si une fois pour toute tu fais attention à mon regard sur toi, à mes yeux presques émerveillés, devant toute ta vivacité, devant tout ton sourire à pleines dents, devant tes cheveux doudous.
Alors, et seulement alors, j'oserai peut être.
Et j'essaierai d'oublier tous mes doutes, mon manque de confiance, parfois, en l'avenir, j'oublirai Msn, mon envie de m'enfuir loin, ma peur de ne plus plaire et je finirai peut être tout contre toi.
Qu'importe l'endroit, qu'importe la forme que notre amour prendra, qu'importe que ce texte soi culcul à souhaît et que personne pas même Ra. n'y pige rien, n'y voit pas le moindre indice.
Peut m'importe.
 C'est toi. Ce ne sera pas un(e) autre.
 
 Musique : cette conne m'inspire.

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