Illumination devant les bouquins de la médiathèque :
En gros "J'aime pas sa façon de parler. Il reste trop distant, c'est une partie seulement superficielle qu'il dévoile. Un bout d'homme, charmant certes, cultivé et classe. Quand je suis rentrée dans sa chambre, la première fois, j'ai pensé "Oh mon dieu ! Mais c'est un mec normal au fond !" et tout ou presque avait changé. Lorsqu'il m'a embrassé, j'ai seulement pensé "Alors ça y est, enfin. Bon, on fait quoi maintenant ?". Pas ce genre de phrase choc "La vie est merveilleuse, il est là, tout près, plus rien à craindre." Juste une impression de cap passé. Et quand vous voyez la suite de l'histoire, heureusement que j'ai réagit ainsi. Heureusement que je n'ai pas explosé de joie. La suite est tellement décevante. Si cette histoire était une série, je couperais après le baiser, et je plaçerais dix minutes de pub. Fin d'un rêve, place aux emmerdes. Alors finalement, passer un an à me prendre la tête. Lui, on l'appellera le remplaçant. Il ne me suffit plus qu'à attendre."

Si les choses étaient aussi "simples" que mes pensées fugitives.


Photo de base. Noël 2006, le fameux carré fantasmé (qui s'est révélé être un véritable fiasco après le brushing de la coiffeuse).

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