A la médiathèque. Des mots qui se ressemblent tous, du "rouge", du "sang", des "papillons" et des "sirènes", de l'"amour" aussi, mais je passe à côté sans rien dire maintenant. J'vois trop d'amour, j'ingurgite trop de visages complices, de mains enlacées, de lèvres qui se frolent. Y a tout qui dégringole dans mon crâne, tout qui s'affale en moi, mais je reste la tête haute, le visage souriant, parce que c'est pas en faisant la gueule qu'on arrive à se trouver un jules. Même si de toute façon, j'en ai pas besoin, pas maintenant ! J'suis bien là. Enfin je crois. :)

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