Y aura t'il un putain d'échappatoire à tout ça ?
Finirais je par trouver un sens à cette vie qui n'a souvent pas beaucoup de goût ? Je maudis sans doute les personnes qui s'en sortent le mieux sans vraiment le savoir. Le bonheur fait-il peur pour que je le fuis sans cesse ?

C'est peut être ça. Si je ne le trouve pas c'est que je ne fais JAMAIS les bons choix. Que je tombe toujours amoureuse des mauvaises personnes. (je dis par là qu'elles ne me conviennent pas, pas qu'elles sont mauvaises dans le sens bon/mauvais)
Le ciel se colore toujours un peu plus de gris et je réalise que je m'enlaidis plus que je ne m'aide avec cette coupe de gamine jamais contente.
Il faudrait pouvoir apprendre comment on aime, comment on peut vivre avec tout ce mal être qui nous est presque innée à tous. Y a t'il un mode d'emploi caché quelque part, sur la page d'un livre jamais vraiment ouvert ?

C'est toujours le même shéma. On en veut toujours plus. Les autres aussi. Et comme les autres nous ont déjà et que nous, non, ils préférent nous refuser d'être amis/amant/amour. C'est aussi simple que ça. On est tous des sous-merdes en progression (plus ou moins pour certains cas).

Ma logique est aussi laide que ça.



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