Tout me manque horriblement.
Mes cheveux bouclés, ces lunettes débiles, leur belle salle de bain, la belle Nilde, les glaçes presque tous les jours, les pâtes à l'huile d'olive, les gros dragueurs bien lourds, les marques italiennes, la copine de Martina avec qui j'avais calculé le coût total de sa tenue (=700 euros AoUch!), Judith, notre remix de Fuoco nel fuoco (pesce nel culo :p), le train si long, nos pauses cappuccino, notre petit déjeuner idéal, pleurer des heures à Rome et à Paris, dans le métro, rentrer et encore pleurer.
Trouver la vie tellement fade.
Sortir du rêve petit à petit.

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