que le monde nous laisse un peu d'air
La plastic baby face porte ses mains à sa bouche en coeur, bat des cils comme un ventilateur et rit aux éclats, mordant l'air empli de chaleur.
Elle baille même si la fatigue ne se fait pas sentir et parfois lui prennent des envies de vomir lorsqu'elle croise sur son chemin tout traçé des cons qui la font jouir, des morceaux d'empire qui s'effaçent encore. Sur le pavé mouillé, sur l'asphalte gelé.
Elle baille même si la fatigue ne se fait pas sentir et parfois lui prennent des envies de vomir lorsqu'elle croise sur son chemin tout traçé des cons qui la font jouir, des morceaux d'empire qui s'effaçent encore. Sur le pavé mouillé, sur l'asphalte gelé.
Par paranoia | Avant | Mercredi 13 Février 2008, 13:50 | Après | Actualités | un commentaire
Commentaires
1 -par Cil, le Vendredi 15 Février 2008, 08:08 Répondre à ce commentaire