Dans la soie grisée des souvenirs, pourriture sur le reste d'empire, il restait ce regard. Imprimé dans la cire, pupilles grandes ouvertes au délire. Des cils courbés au Rimmel, de l'acier sur la bouche, des éclats de comètes.. C'était d'une laideur grandissante, surtout quand on secouait le foulard. Les yeux se tordaient, la bouche disparaissait sous les plis, le visage se déformait à grands cris.
J'écris de la merde, sur un écran trop lisse.
Par paranoia | Avant | Lundi 3 Mars 2008, 14:41 | Après | Actualités | aucun commentaire