La tête qui tourne, tourne, et tourne. Qui cabosse l'intérieur. Quand je marche j'ai des hauts le cœur.


Sinon j'ai le sourire qui monte, monte, monte. Mes yeux se perdent doucement dans le flou quand ma tête se rapproche.


La fête foraine qui s'installe prend des allures de ville fantôme vers 18h. J'aimerais bien en prendre quelque photo mais je n'ai toujours pas assez d'assurance pour oser demander quoique ce soit. Je me contente de quelques portraits pris à la sauvette, entre deux cours. J'en oublie de manger. Mais ceci est une autre histoire.





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