Apprendre à jouïr sans entraves.
En anglais, il chantait cette chanson que j'ai toujours trouvé un peu niaise, le genre de chanson pour pub Atol (les opticiens !!) :
Ah la belle vie...gnagnagna... Eh bien à ce moment même, je l'ai ressenti comme une évidence : oui, malgré tous les défauts que comporte cette petite vie, je suis heureuse.
Je lis Sade. Oui, le Marquis. La Philosophie dans le Boudoir.
Je n'ai plus peur des autres. Cette paranoïa exacerbée qui me poussait toujours un peu plus à m'enfermer dans des rôles, des personnages qui ne me ressemblaient pas. Eh bien elle s'est barrée. Paf! La confiance en soi n'est pas qu'un leurre.
Et j'aimerais savoir écrire comme elle. Savoir décrire les choses les plus invraisemblables. Faire croire qu'elle se connait.
Il me tarde.
Par paranoia | Avant | Dimanche 1 Juin 2008, 19:32 | Après | Actualités | 2 commentaires
par paranoia, le Lundi 2 Juin 2008, 00:43
Répondre à ce commentaire"On appelle de cette manière, ma toute belle, ces victimes publiques de la débauche des hommes, toujours prêtes à se livrer à leur tempérament ou à leur intêret; heureuses et respectables créatures, que l'opinion flétrit, mais que la volupté couronne, et qui, bien plus nécessaires à la société que les prudes, ont le courage de sacrifier pour la servir, la considération que cette société ose leur enlever injustement. Vivent celles que ce titre honore à leurs yeux ! voilà les femmes vraiment aimables, les seules véritables philosophes ! (...)"
Dicit Monsieur Sade lui même ;)
Commentaires
1 -par Justine., le Dimanche 1 Juin 2008, 23:56 Répondre à ce commentaire