Bon c'est idiot, ces articles sans titres, ces questions sans réponses, ces personnages sans vraies lettres, ces histoires invraisemblables, ces photos laides ET énigmatiques. Je fais la mystérieuse pour une vie rangée, je suis l'anticonformisme caché, le sein sublime mais trop souvent caché, la morveuse encore adolescentée.
Le papillon mettra encore un bail à sortir de sa chrysalide (je déteste cette métaphore mais j'ai trouvé que ça) si je reste dans cette ville pour minables. Ouais vous n'êtes que des minables à rester plantés là, 25 ans passés, et ennui à la clé. J'en ai encore vu un à la fenêtre de son immeuble miteux, fumant sa clope dans l'air chaud. C'était d'un pathétique redoutable, ce fade qui te mord à la gorge, cette existence timide qui ne veut que rentrer, incessamment, dans un ordre impeccable. J'ai parfois des sursauts d'optimisme, quand j'entends "il y a tellement de choses à vivre dans une vie si courte". Et puis mon enthousiasme retombe comme un soufflé, doucement mais surement. Va savoir pourquoi... La peur et l'attirance pour les villes immenses, pour les soirées déjantées...


Fini.

Je sors exister un peu..



Ah quel petit folichon ce Panasonic !

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