Un long dimanche de fiancailles.
Ton cœur bat contre ma paume, les heures s'enfuient, nous les enfilons en collier, autant que possible, pour fabriquer des sautoirs de souvenirs, des sauteries mémorables mais comme je déteste ce mot autant que toi, je dirais plutôt des moments magiques dans ton fairel'amouraudrôme, ce serait mille fois plus adapté à la petite chose fragile qui s'agite en moi, indépendamment de mes sentiments, forts.
Nous créons petit à petit, pas à pas dans les immenses vide-greniers, un joli couple bio le....., bientôt, dans un mois plus précisément, nos mains s'effleureront dans les secousses et dans le bruit. Les caisses résonneront à travers notre corps, j'aime utiliser cette 1ère personne du pluriel, un peu étrange puisque dans notre cas, elle lie déjà par les mots, avant même que par les actes. Le vraisemblant s'installe avant le vrai.
Je ne suis jamais plus sure de mon amour que lorsque que nous nous lovons sur mon canapé, les mains caressantes et le regard "qui fait peur" selon toi.
Tu sais, je n'ai pas peur des mots et des répétitions, je n'ai pas peur parce que je sais que tu ne te lassera pas de m'entendre te le dire, même bizarrement dans la nuit, même chuchotté inaudiblement au fond d'un train, même crié par la fenêtre. Si tu me le demandais, je changerais d'apparence pour pouvoir te le crier partout, dans la rue, à vélo, dans le parc. Mais l'affaire est un peu compromise dirons nous :D
Nous créons petit à petit, pas à pas dans les immenses vide-greniers, un joli couple bio le....., bientôt, dans un mois plus précisément, nos mains s'effleureront dans les secousses et dans le bruit. Les caisses résonneront à travers notre corps, j'aime utiliser cette 1ère personne du pluriel, un peu étrange puisque dans notre cas, elle lie déjà par les mots, avant même que par les actes. Le vraisemblant s'installe avant le vrai.
Je ne suis jamais plus sure de mon amour que lorsque que nous nous lovons sur mon canapé, les mains caressantes et le regard "qui fait peur" selon toi.
Tu sais, je n'ai pas peur des mots et des répétitions, je n'ai pas peur parce que je sais que tu ne te lassera pas de m'entendre te le dire, même bizarrement dans la nuit, même chuchotté inaudiblement au fond d'un train, même crié par la fenêtre. Si tu me le demandais, je changerais d'apparence pour pouvoir te le crier partout, dans la rue, à vélo, dans le parc. Mais l'affaire est un peu compromise dirons nous :D
Par paranoia | Avant | Samedi 27 Septembre 2008, 22:16 | Après | Actualités | un commentaire
Commentaires
1 -par koala australien , le Samedi 27 Septembre 2008, 23:05 Répondre à ce commentaire