Et j'ai le cœur au sourire et le sourire à cœur de te faire languir comme on s'attarde près d'une fleur. Il faudra pourtant mourir sans apprendre par cœur le son de ta voix qui soupire quand vient l'heure de nos ardeurs. Ailleurs sans doute la cire ira marquer ses jolis pleurs sur la nappe qu'il faudra blanchir pour éviter les sautes d'humeur. Amour, amour, fais moi finir la sourdine de nos dures labeurs, étreins moi, savoure le pire, et prend moi pour le meilleur.




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