Et le siècle des grands écorchés finit de pleurer ses caillots de sanglots. Fin du premier chapitre.

Et tu noies dans la salle des bains, toutes les larmes que tu peux, tu les enfermes au fond du robinet et tu vides ta poubelle de mensonges. Adieu tous les beaux cris lyriques, nous n'aurons plus droit à l'opérette des tristesses affligées au milieu des brosses à dents usées et des crèmes à demi renversées. Et c'est bien mieux comme ça, non ?
Pleine plongée dans la joie retrouvée. Et les carreaux crasseux au mur, font résonner des sourires entendus, des coups d'œil cinglants, des poignées de mains satisfaites.


A ceux qui prônent le retour au naturel comme critère de beauté, je répondrais que mon ignominie convient parfaitement à mon entourage.
Et à moi même.









Et pourquoi ne pas vamper la caméra,
l'attirer à soi comme un hameçon pour la recracher aussi sec ?


Et elle est étrange et je crois qu'elle a mal là où personne ne souffre vraiment.
Dans toute l'ignorance qu'on lui porte.


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