Et ce putain de monde peut bien cramer et les drogues peuvent bien me faire planer, jamais je ne crèverais sans toi.
 
J'ai cette soif de paix, cette putain d'envie que tout règne à sa place, que chacun soit heureux et sans problème, qu'il n'y ai pas de guerre stupide, ni de haine superflue. J'ai cette stupide pensée que les choses s'arrangent d'elle même. Je me hais de positiver, d'esperer encore. Parfois. Je me déteste de savoir que la fin arrive toujours trop vite, sans trop savoir quoi faire, sans jamais profiter du moment, de l'ambiance éclatante, des brins de bonheurs qui s'éparpillent dans tes cheveux. Parfois. J'imagine que le temps s'arrêtera pour nous, qu'il se stoppera la vie normale rien que pour nos beaux yeux. J'éternise..
Je m'éternise...

Répondre à cet article