Les totalitarismes me fascinent. On étudie Mussolini et les Bolcheviks en cours et j'ai presque honte d'avoir hurlé "communista !" au concert de Manu Chao l'été dernier.
Bon, en y réfléchissant, c'est toujours mieux qu'Hitler et son nazisme, non ?
Oh et puis avouons le, je n'y connais quasiment rien.
C'est juste que j'ai un peu peur des mots parfois, qu'on les interprète mal ou au contraire, beaucoup trop bien et qu'on y voit à travers, tout le vide qui traîne derrière mes yeux.
Il y a ce sentiment étrange de n'exister que pour se connaître soi même, cette espèce d'envie de savoir à tout prix, d'envier les grands écrivains qui eux se décrivent mieux que personne.
Je devrais savoir le faire, et mourir en paix puisque je n'aurais pas laissé que du silence derrière cette existence. Je sais bien qu'on laisse place à la poussière mais les mots, les mots porteront le deuil, on ne sait jamais, ou bien les souvenirs, oui, les souvenirs seront éternels.

Et puis j'veux pas oublier ou rien que faire semblant d'oublier pour les autres.
Je crois que j'ai jamais aimé comme ça.

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