"(...) Quand rêve et réalité se confondent, amalgame séduisant de beauté abstraite et de tempête intèrieure, étreinte désirée mais non voulue, soif languide soigneusement ignorée, douces caresses répétées, inavouées...insatisfaisante procuration.. (...)"

"(...) Tu m'as transformé, tu as illuminé ma vie, mais je reste moi. Je t'aime à en mourir, je souhaiterais, au delà de mes rêves les plus fous, que rien ne soit arrivé ce matin, pourtant je suis moi et je ne peux rien y changer, juste me battre pour progresser. Je comprends que tu ne veuilles plus de moi, je l'accepte, même si j'ai l'impression que mon coeur est devenu un glaçon, même si j'ai mal comme jamais je n'aurais cru avoir mal. Tu veux m'oublier, je ne peux que m'effacer. Devenir invisible pour que tu guérisses. (...)"

"(...) Supposons que tu m'embrasses. Là. Maintenant. (...) J'aurais la moitié de la nuit pour penser à ce baiser et l'autre pour imaginer celui que tu m'offriras demain sur notre banc. Nous serons ensembles. Toute la nuit. Mais cela va plus loin. Nous ne nous quitterons plus jamais. Où que tu sois, quoi que nous devenions, mes actes, mes paroles, mes rêves s'agenceront toujours autour de toi. Tu vis dans mon coeur, Tristan, même si tu crois exister ailleurs. La vérité est amour, tout le reste est illusion. (...)"
Tour B2 mon amour de Pierre Bottero

En bref, si je me base sur ce livre, je ne vis que dans l'illusion. Youpi ! Belle illusion alors, car je ne remarque rien de la supercherie.

A vrai dire, j'ai pensé toute la journée à cet article que j'allais écrire, ce que j'allais glisser dedans. Oui, car mon instant d'éternité se résume dans ces mots, c'est ici que je me sens libre, ici que je peux..Et patati et patata, la suite résumée dans la plupart des blogs, vous comprendrez, j'espère !

J'ai le coeur qui s'éparpille..Tu me manques, mon amour.. Je pense à toi, je saute sur place quand j'ai une nouvelle de toi. Vivement mon portable, je serai enfin à toi. Si tu savais comme le temps me semble long sans toi. Il m'a toujours semblé long. J'ai oublié à présent, le temps qui passe n'est que superflu et infini. Car, je sais, qu'un jour, on se retrouvera. Loin de tout, près d'eux finalement. Mais tellement transcendés d'amour, à s'en faire pulvériser le coeur. Nos retrouvailles (car, à vrai dire, nous ne nous sommes jamais quittés, je t'aime depuis toujours..) seront. Je te le promets. Parce qu'en toi, je place des espoirs infinis, des amours vertigineux, des souvenirs possibles, de longues après midi à se regarder vivre, à s'aimer, tout simplement. Ou bien non, car ce qui nous unit n'est pas aussi simple, c'est plus que de l'amour, c'est une partie d'infini qui réside entre nous mon amour. Tu ne liras peut être jamais cela, mais saches, saches que je suis là. Tout près. Je souffle dans ton cou, des poussières d'éternité.

Un souvenir, tu comprendras..

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