La science de l'interprète va loin.
Je voudrais pas m'empêcher de parler, surtout pas. Je me force plus que
tout à être libre, comme l'air et le vent qui nous défigurent les
traits. Le matin au réveil, je grimaçe comme la femme avec la tête de
travers qu'on a dessiné en histoire avec Christian. C'est le manque de
sommeil. C'est certain. C'est ça.
Je garde pas mon vernis deux jours de suite, ni mes doigts sans encre. J'écris trop.
Mon maquillage se barre toutes les 3 heures, je ne suis que SU-PER-FI-CIA-LI-TE.
Je pleure plus depuis des mois. Je deviens lunatique. J'ai plus vraiment le temps de me poser des questions inutiles, je suis submergée de travail. Que je ne fais pas.
Et puis je réalise que les mots ne trouvent du sens que dans mon journal.
Je reste là à tout dévoiler, à ne rien démontrer, à vous laisser juger.
Comme dans une vitrine sans vitre.Mon maquillage se barre toutes les 3 heures, je ne suis que SU-PER-FI-CIA-LI-TE.
Je pleure plus depuis des mois. Je deviens lunatique. J'ai plus vraiment le temps de me poser des questions inutiles, je suis submergée de travail. Que je ne fais pas.
Et puis je réalise que les mots ne trouvent du sens que dans mon journal.
Je reste là à tout dévoiler, à ne rien démontrer, à vous laisser juger.
Par paranoia | Avant | Dimanche 20 Janvier 2008, 21:50 | Après | Actualités | aucun commentaire