Je me détraque sérieux. Je pleure pour un rien, je tombe malade n'importe quand, n'importe comment. Je me suis jamais autant gavée de médicaments cette semaine et pourtant, aucun stress à l'horizon.
Hier, j'étais dans ses bras. Bercée, embrassée, caressée. Ça avait comme un goût d'été. Agréable.
Parfume toi encore, le Chanel sur la peau sale, les dents brossées au Hollywood chewing gum et les cheveux attachés et nourris à la laque.
Par paranoia | Avant | Samedi 21 Juin 2008, 20:35 | Après | Actualités | aucun commentaire