Et je salis les mots, en les mâchant : trop frais. Je les utilise à de mauvais escients, ils deviennent ainsi fruits de ma perversité. Le résumé d'un soir, comme on retourne les faits..Tout en devient lyrique, le moindre jeu de mot, de travers, nous emporte vers l'ailleurs. On voyage dans des phrases.
Parfois le réel magnifie nos mouvements, s'accorde un peu à nos vies effrénées et tout prend mieux son sens, sa tournure dans nos têtes. Et bien loin dans nos esprits.
Ce soir, j'ai bu du thé face à l'obscurité. Assise devant l'écran plein des moustiques du dehors, si je ferme les yeux, je suis dans la jungle et il n'y pas ce bruit que je camoufle avec mes écouteurs, avec Coldplay (avec Trouble, que Ninoutita m'a donné l'occasion de redécouvrir, à travers un texte, un univers différent du mien mais des expressions recherchées, un phrasé qui te tourne le cœur.. Mais ça fait moche de décrire une écriture, il suffit de la lire, pour en prendre toute l'ampleur dans la figure alors..).
Sans blague, le piano me transporte. Les envolées lyriques qu'ils disent. Que je pense.
Toujours l'envie d'écrire, le n'importe quoi, la puissance de cette vie. C'est toute une force qu'on ne dirige pas, qu'on arrête pas et sans vouloir partir dans le mélo ("Non, ce n'est pas un gros mot !" d'après Marie Claire de ce mois ci), j'ai encore pleuré cet après midi :
Découvrez Étienne Daho!
Parfois le réel magnifie nos mouvements, s'accorde un peu à nos vies effrénées et tout prend mieux son sens, sa tournure dans nos têtes. Et bien loin dans nos esprits.
Ce soir, j'ai bu du thé face à l'obscurité. Assise devant l'écran plein des moustiques du dehors, si je ferme les yeux, je suis dans la jungle et il n'y pas ce bruit que je camoufle avec mes écouteurs, avec Coldplay (avec Trouble, que Ninoutita m'a donné l'occasion de redécouvrir, à travers un texte, un univers différent du mien mais des expressions recherchées, un phrasé qui te tourne le cœur.. Mais ça fait moche de décrire une écriture, il suffit de la lire, pour en prendre toute l'ampleur dans la figure alors..).
Sans blague, le piano me transporte. Les envolées lyriques qu'ils disent. Que je pense.
Toujours l'envie d'écrire, le n'importe quoi, la puissance de cette vie. C'est toute une force qu'on ne dirige pas, qu'on arrête pas et sans vouloir partir dans le mélo ("Non, ce n'est pas un gros mot !" d'après Marie Claire de ce mois ci), j'ai encore pleuré cet après midi :
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Par paranoia | Avant | Mercredi 25 Juin 2008, 01:46 | Après | Actualités | aucun commentaire