les culs et les nichons
"Elle aurait bien aimé puiser dans des ressources de médiocrité, se découvrir enfin apte au compromis ; mais sa nature lui refusait ce repos, la condamnait à l'inconfort d'être elle-même."
Un nœud immense me noue le ventre, sans doute le doute. N'aie pas peur, qu'ils disaient dans Psychologie Magazine alors j'essaie de croire que la vie sans toi, ce serait tout aussi merveilleux. A regret tu sais, parce que j'ai horreur de ça, imaginer que tu ne puisses plus exister à mes yeux. Tu vois, ça me tord me l'intérieur, ça ruisselle en caillots.
Je suis la dégueulasse qui ne te méritait pas, ou alors le contraire, je ne sais plus ce qu'on avait conclu au tout début. Je suis la connasse au ventre creux, au sourire jaune trop niais pour être photogénique mais je t'aime. Je t'envois des smileys à gueules tordues ou regards tristes, c'est tout ce que j'arrive à exprimer.
Avant, ça me semblait impossible que le corps nous face ressentir notre mal être. Je trouvais ça idiot, pas lié du tout. Et là, je me tords sur mon siège, le bide en feu, le nez trempé. Et j'y crois.
Je suis la dégueulasse qui ne te méritait pas, ou alors le contraire, je ne sais plus ce qu'on avait conclu au tout début. Je suis la connasse au ventre creux, au sourire jaune trop niais pour être photogénique mais je t'aime. Je t'envois des smileys à gueules tordues ou regards tristes, c'est tout ce que j'arrive à exprimer.
Avant, ça me semblait impossible que le corps nous face ressentir notre mal être. Je trouvais ça idiot, pas lié du tout. Et là, je me tords sur mon siège, le bide en feu, le nez trempé. Et j'y crois.
Par paranoia | Avant | Samedi 19 Juillet 2008, 17:39 | Après | Actualités | aucun commentaire