you'll grow to love me even more
Le soir, j'embrasse mes draps chauds, je m'enfonce dans le matelas, le corps exténué, collé.
Temps triste, vent qui emmêle, qui fendille l'été et nous rend bientôt cet automne photogénique dans 72heures sans compter cette heure ci. Il y a du regret, du remord, dans ces vacances. De l'ataraxie dans les actes aussi. Ici, on nous apprend à jongler entre les idées. Un peu de keynésianisme, un peu de Schopenhauer, une pincée d'anorexie pour une cuillère d'élections américaines (OBAMA?). Nos profs ont : une culotte de cheval, un rire lilliputien, des voix de schizophrènes, du bon vouloir, de l'humour qui ne fonctionne pas et le fantasme du prof de sport > Oh non, ça ne passera pas par moi.
Ton look androgyne me rappelle à mes penchants, à mon amour du masculin "perversifié".
blablaterie sans intêret aucun, j'aimais ton écriture mais blog il n'y a plus alors je me contente. Se contenter est agréable cela dit, j'attends le "faux" cadeau.
Bonne nuit.
Anniversaire le 10 octobre et je suis figurante (Coco Chanel).
Temps triste, vent qui emmêle, qui fendille l'été et nous rend bientôt cet automne photogénique dans 72heures sans compter cette heure ci. Il y a du regret, du remord, dans ces vacances. De l'ataraxie dans les actes aussi. Ici, on nous apprend à jongler entre les idées. Un peu de keynésianisme, un peu de Schopenhauer, une pincée d'anorexie pour une cuillère d'élections américaines (OBAMA?). Nos profs ont : une culotte de cheval, un rire lilliputien, des voix de schizophrènes, du bon vouloir, de l'humour qui ne fonctionne pas et le fantasme du prof de sport > Oh non, ça ne passera pas par moi.
Ton look androgyne me rappelle à mes penchants, à mon amour du masculin "perversifié".
blablaterie sans intêret aucun, j'aimais ton écriture mais blog il n'y a plus alors je me contente. Se contenter est agréable cela dit, j'attends le "faux" cadeau.
Bonne nuit.
Anniversaire le 10 octobre et je suis figurante (Coco Chanel).
Par paranoia | Avant | Jeudi 18 Septembre 2008, 00:14 | Après | Actualités | aucun commentaire