Et les mots s'enfoncent lentement, onctueusement dans ma boite crânienne. J'ai beau être dans l'endroit le plus agréable du monde, il y a toujours une impression négative pour venir vous pourrir l'ambiance. Un certain détachement. J'avais tellement espéré la neige..Manque de bol, le soleil éblouit à n'en plus pouvoir.
Tu as toujours voulu prendre le dessus. J'ai même les mains glacées quand j'essaie de sortir dehors. J'irai chercher les œufs des poules dans quelques temps, ça m'amusera de mettre plein de terre sur mes chaussures Minelli achetées au prix fort puis rapiécées encore et encore. J'ai encore hésité pour le nouvel an. Bizarre comme la présence des gens compte en ce jour. Il faut choisir L'ami avec qui on passera sa soirée, ne pas se tromper, boire assez pour beaucoup rire et oser danser dans la rue et faire des sourires à cet inconnu qui vous sert du punch en lorgnant votre décolleté. Oui, tu m'as fait mal. Oui, j'ai toujours horreur de te lire. Parce qu'il y a toujours une couille dans le potage comme on dit. Tu fais comme moi avec ma mère : jamais contente. Contente toi un peu de mes mots, de mes sourires, de mes caresses. Tu veux toujours nous élever dans des sphères mythiques. Eh bien non. Dur à réaliser : je suis normale.
Tu as toujours voulu prendre le dessus. J'ai même les mains glacées quand j'essaie de sortir dehors. J'irai chercher les œufs des poules dans quelques temps, ça m'amusera de mettre plein de terre sur mes chaussures Minelli achetées au prix fort puis rapiécées encore et encore. J'ai encore hésité pour le nouvel an. Bizarre comme la présence des gens compte en ce jour. Il faut choisir L'ami avec qui on passera sa soirée, ne pas se tromper, boire assez pour beaucoup rire et oser danser dans la rue et faire des sourires à cet inconnu qui vous sert du punch en lorgnant votre décolleté. Oui, tu m'as fait mal. Oui, j'ai toujours horreur de te lire. Parce qu'il y a toujours une couille dans le potage comme on dit. Tu fais comme moi avec ma mère : jamais contente. Contente toi un peu de mes mots, de mes sourires, de mes caresses. Tu veux toujours nous élever dans des sphères mythiques. Eh bien non. Dur à réaliser : je suis normale.
Par paranoia | Avant | Samedi 27 Décembre 2008, 13:15 | Après | Actualités | aucun commentaire