Il n'y avait pas de barrières. Aucun mot pourtant qui ne pouvait remplacer si délicieusement les silences de nos corps emmêlés. Pas de complices. Rien que le bruit des draps sur lesquels on tire pour découvrir la peau, celui des souffles légers, des baisers enfiévrés.
Il ne peut y avoir d'oubli dans ce genre de situation.
Il ne peut y avoir d'oubli dans ce genre de situation.
Par paranoia | Avant | Dimanche 10 Janvier 2010, 00:35 | Après | Actualités | aucun commentaire