Oh, tu sais que les mots ne glissent pas aussi facilement dans la gorge.
Tu n'apréhendes déjà plus nos blancs, de toute façon, on sait remplir la conversation de phrases futiles qui ne nous mènent à rien.
Oh, tu aimes quand je t'embrasse, ça se voit, ça se sent aux mouvements de tes lèvres.
A la chaleur de ta langue.
Oh, tu regardes bien les feuilles mortes comme tu regardes mes yeux. Tu n'apprends pas à lire en moi, je ne sais de toi que le superficiel. L'inutile devrais-je dire.
Je veux tout connaître. J'aimerais être la plus proche, collée au moindre sentiment, à la moindre pensée qui passe dans ta tête. Et qui connait déjà tes réactions.
Qui sait exciter ta ceinture, qui se meure sous toi, sous l'opression de tes assauts.
Tu n'apréhendes déjà plus nos blancs, de toute façon, on sait remplir la conversation de phrases futiles qui ne nous mènent à rien.
Oh, tu aimes quand je t'embrasse, ça se voit, ça se sent aux mouvements de tes lèvres.
A la chaleur de ta langue.
Oh, tu regardes bien les feuilles mortes comme tu regardes mes yeux. Tu n'apprends pas à lire en moi, je ne sais de toi que le superficiel. L'inutile devrais-je dire.
Je veux tout connaître. J'aimerais être la plus proche, collée au moindre sentiment, à la moindre pensée qui passe dans ta tête. Et qui connait déjà tes réactions.
Qui sait exciter ta ceinture, qui se meure sous toi, sous l'opression de tes assauts.
Par paranoia | | | Actualités | aucun commentaire