*sur l'air d'un "prélude de Bach" par Maurane*
Frissons légers sur ma peau nauséeuse, flasque et blanchâtre.
Les pics de son s'emflamment et je pars ailleurs, le regard dans le vague.
Mon corps se laisse doucement dissoudre dans la musique, sablier en partance.
Mon coeur se soulève, au dessus de mon ventre, criant toute sa faim. On jettera les restes.
La douce mélodie me cueille des souvenirs, je vole, j'avance si vite au ras du sol, je vis chaque sensation plus fort encore, ça y est, je suis là, j'arrive, je sais que tu m'attends, je sais que tu es là, qu'il n'y aura qu'une issue.
Moi et ma tête à claques.
Excuse moi.
Les pics de son s'emflamment et je pars ailleurs, le regard dans le vague.
Mon corps se laisse doucement dissoudre dans la musique, sablier en partance.
Mon coeur se soulève, au dessus de mon ventre, criant toute sa faim. On jettera les restes.
La douce mélodie me cueille des souvenirs, je vole, j'avance si vite au ras du sol, je vis chaque sensation plus fort encore, ça y est, je suis là, j'arrive, je sais que tu m'attends, je sais que tu es là, qu'il n'y aura qu'une issue.
Moi et ma tête à claques.
Excuse moi.
Par paranoia | Avant | Samedi 3 Novembre 2007, 20:14 | Après | Actualités | aucun commentaire