Et puis ils crachent tes secrets à n'importe qui, ils te trouvent des surnoms débiles, plus rien n'appartient à personne, je deviens la propriété de tout le monde.
Et puis la tête tourne toujours un peu plus et quand tu t'arrêtes, tu te rétames la gueule par terre, la joue creusée et égratinée.
Il en faut peu. Ca je l'ai bien assimilé.

Ben Marie tu rentres chez toi ?
Bah oui, je vais me tailler les veines. Ah ah.
Nous partageons parfois la même douleur et deux minutes plus tard, j'ai un mal fou à te comprendre.

Nous sommes tous beaucoup trop différents. Est-ce un mal.
Merde vous ne comprendrez rien, vous ne comprenez pas, et ma merde recommencera.
C'est laid et ça suinte la connerie,
ne me pardonnez pas,
comme vous savez si bien le
faire.

Aîe !

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