Je ne suis plus qu'une petite chose chiffonnée et jetée nonchalamment sur une chaise d'ordinateur : je viens de pleurer.
J'ai même fait plus de bruit que la musique du film. J'en ai mouillé mes épaules. Je n'aime pas cet état de faiblesse. Je veux être la forteresse qui ne s'effondre pas à travers les siècles, et s'il faut en souffrir plus tard, tant pis. Pourtant, il fallait que ça sorte, l'échec tout ça. Voilà, nous sommes fragiles, friables à souhait. Nos humeurs surpassent nos entendements, nos sentiments. Nous ne sommes malheureusement pas plus supérieures que vous tous. Notre couple a ses failles et je le reconnais durement.
Au final, le plus difficile, ce n'est pas de souffrir seule, c'est de réaliser la douleur de l'autre. On ne s'en rend pas forcément compte sur l'instant mais lorsque ça arrive c'en est terminé de vous et de votre petit bonheur, égoïste au final.
Cet article n'a pas plus de valeur que tous les autres, je l'ai juste écrit sur cette chanson et cette humeur bien spéciale qui me fait divaguer entre "oh ! quelle douceur de vivre !" et "si ça continue, je m'explose le crâne contre les dalles pavées du salon"
Et je l'effacerai bientôt.
J'ai même fait plus de bruit que la musique du film. J'en ai mouillé mes épaules. Je n'aime pas cet état de faiblesse. Je veux être la forteresse qui ne s'effondre pas à travers les siècles, et s'il faut en souffrir plus tard, tant pis. Pourtant, il fallait que ça sorte, l'échec tout ça. Voilà, nous sommes fragiles, friables à souhait. Nos humeurs surpassent nos entendements, nos sentiments. Nous ne sommes malheureusement pas plus supérieures que vous tous. Notre couple a ses failles et je le reconnais durement.
Au final, le plus difficile, ce n'est pas de souffrir seule, c'est de réaliser la douleur de l'autre. On ne s'en rend pas forcément compte sur l'instant mais lorsque ça arrive c'en est terminé de vous et de votre petit bonheur, égoïste au final.
Cet article n'a pas plus de valeur que tous les autres, je l'ai juste écrit sur cette chanson et cette humeur bien spéciale qui me fait divaguer entre "oh ! quelle douceur de vivre !" et "si ça continue, je m'explose le crâne contre les dalles pavées du salon"
Et je l'effacerai bientôt.
Par paranoia | Avant | Samedi 26 Juillet 2008, 03:10 | Après | Actualités | aucun commentaire
