rien n'efface l'essentiel
Savoir ouvrir les vannes de l'inconnu et faire face. Doucement se jeter dans l'eau douce du devenir, se délester de ce passé un peu lourd pour des futurs plus juteux, plus rafraichissants. La bouche trop sèche se gorge d'avenir, lentement. A la plus belle, la plus merveilleuse, la plus magique. A la fille douce et fiévreuse, aux dents blanches, aux cheveux épais, lourds de sens et de parfums, et au corps chaud dans la nuit brune. Savoir se réveiller du pire pour des lendemains qui dansent, qui virevoltent sur du jazz manouche au milieu des fumigènes. On oublie pas, on vit merveilleusement avec des souvenirs plus ou moins amers. Ce n'est pas dur quand on le décide. C'est tremblant bien sur certains jours, mais les mains tendues se font nombreuses quand on appelle au bonheur, vous savez. Moi j'croyais pas au grand amour. Mes pensées persistaient à te camoufler...
...jusqu'au jour.
...jusqu'au jour.
Par paranoia | Avant | Vendredi 25 Juillet 2008, 16:17 | Après | Actualités | aucun commentaire