nouvelles sous caféine (suite)
"Le temps s'est arrêté, tout a continué." Indochine
["oh non ! pas Indochine j'espère !" par lui, quand je prends mon Ipod]
Ne pose pas tes yeux ainsi, ne me regarde pas, ne me regarde plus.
Je perdrais mon sang froid si je t'apercevai une fois de plus. Une fois de plus, et je finis dans tes bras. La neige a voulu nous rapprocher sans doute. Sans doute aime t'elle les corps qui se désirent mais ne peuvent pas s'atteindre. Ne peuvent tout simplement pas oser de peur de casser la magie de l'attente. Mais l'attente est bien trop longue et bien trop grand est mon désarroi quand, au tournant d'une rue, j'espère et je ne te vois pas. Tu tiens ma vie, là, tout juste au creux de tes mains dont la circulation se coupe, parfois. Dont la cigarette ne jaunit pas les ongles, bizarrement. Tu me transmets tes doutes, tes manies, tes passions, tes angoisses. Je me mets au café, te rends tu bien compte ?! Il est des choses que l'on ose pas dire, que l'on n'ose pas écrire, que l'on n'ose pas faire.
T'aimer est possible, t'avoir ne l'est pas.
Reviens moi.
L'erreur : je ne me souviens plus de l'origine de cette photographie, pardonnez moi !
Par paranoia | Avant | Mercredi 24 Janvier 2007, 22:05 | Après | Actualités | aucun commentaire